
Je fais partie du groupe de discussion des blogueurs du développement personnel. Ce groupe propose un rendez-vous intitulé "A la croisée des blogs". C'est une opération inter-blogs qui consiste à publier dans un intervalle de temps donné des articles sur une thématique donnée. Chaque mois le thème et le blog hébergeur des articles change.
Le thème de réflexion du mois de novembre est : "Comment renverser une situation désespérée ? ». Je vous invite à lire tous les articles publiés sur ce thème sur le blog de Pierre Morsa.
Situations désepérées ? Lâchons prise !
Accepter ce qui est :
Le simple fait de qualifier une situation de « désespérée » entrave la possibilité de dépasser cette situation. « Désespérée » cela signifie que l’on ne voit pas d’espoir, que l’on n'envisage pas de solution ou d'avenir. Parce que l’on refuse la situation elle-même. Et le monde tel qu’il est.
Pour venir à bout d’une situation difficile il faut commencer par l’accepter. Même si ça paraît compliqué, même si ce qui arrive semble injuste. On ne peut surmonter une épreuve qu’en acceptant que les choses soient comme elles doivent être.
Ce qui se présente fait partie de notre vie, y résister nous conduit à une séparation d’avec notre propre vie, c'est de là que naît le désespoir.
Si je refuse ce qui m’arrive en le qualifiant de désespéré, je reste dans le blocage du refus. Je ne peux rien faire puisque je n’accepte pas la réalité. Mon énergie se place dans le refus, dans la révolte, dans le désespoir.
Pourtant, ce n’est ni injuste, ni désespéré, c’est ce qui m’arrive. C’est ainsi. Cela m’arrive. Je l’accepte, j’accepte de le vivre, donc j’accepte de vivre et d’espérer. Même si ce qui est à vivre est difficile, je le vivrai et mon énergie m’aidera à le vivre du mieux possible.
Etre dans le non-refus de l’épreuve, être en unité avec elle, permet d’être en unité avec soi-même et avec le monde.
Vivre la situation dans l’ici et maintenant :
Nous vivons particulièrement mal une situation difficile lorsque nous regrettons ce que nous avons pu faire dans le passé et qui, supposons-nous, a amené cette situation à exister (« J’aurais dû… », « Si je n’avais pas… ») ou lorsque nous nous angoissons en pensant au futur, aux conséquences possibles de cette situation (« Tout va devenir compliqué… », « Je n’arriverai pas à m’en sortir … »). Alors le remords et l'anxiété s'ajoutent à la souffrance et à la tristesse.
L'épreuve est suffisante en elle-même, il n’est pas nécessaire de se torturer davantage en imaginant ce qui aurait pu advenir d’heureux à la place ou en projetant de potentielles complications futures. Le passé est passé, impossible de le modifier, ni de le faire revenir, et puisque le futur n’est pas connaissable, nous pouvons libérer notre esprit de toute pensée le concernant. Ce qui se vit doit se conjuguer au présent. La sophrologie nous invite à vivre chaque situation dans l’ici et maintenant de ce qu’elle est aujourd’hui, sans a priori sur ce qu'elle aurait pu être ou sur ce qu'elle deviendra.
Lâcher prise pour laisser apparaître les solutions :
On ne peut pas tout contrôler. Chacun se trouve à un moment où à un autre confronté à des épreuves qu’il aurait préféré éviter. Avec la sophrologie nous apprenons à lâcher prise, à accepter de ne pas pouvoir exercer de contrôle sur tout, à admettre que le monde ne se conforme pas à notre idée de la perfection. Alors seulement, un apaisement apparaît, la vérité de la situation se dévoile, une issue se profile.
Nous possédons de nombreuses ressources pour affronter les épreuves, mais notre désir de contrôle et notre refus de la réalité les paralysent. A l’inverse, le lâcher prise libère nos potentiels et, dans ce qu’il débloque en nous, laisse un espace disponible pour que des solutions émergent.
Pour venir à bout d’une situation difficile il faut commencer par l’accepter. Même si ça paraît compliqué, même si ce qui arrive semble injuste. On ne peut surmonter une épreuve qu’en acceptant que les choses soient comme elles doivent être.
Ce qui se présente fait partie de notre vie, y résister nous conduit à une séparation d’avec notre propre vie, c'est de là que naît le désespoir.
Si je refuse ce qui m’arrive en le qualifiant de désespéré, je reste dans le blocage du refus. Je ne peux rien faire puisque je n’accepte pas la réalité. Mon énergie se place dans le refus, dans la révolte, dans le désespoir.
Pourtant, ce n’est ni injuste, ni désespéré, c’est ce qui m’arrive. C’est ainsi. Cela m’arrive. Je l’accepte, j’accepte de le vivre, donc j’accepte de vivre et d’espérer. Même si ce qui est à vivre est difficile, je le vivrai et mon énergie m’aidera à le vivre du mieux possible.
Etre dans le non-refus de l’épreuve, être en unité avec elle, permet d’être en unité avec soi-même et avec le monde.
Vivre la situation dans l’ici et maintenant :
Nous vivons particulièrement mal une situation difficile lorsque nous regrettons ce que nous avons pu faire dans le passé et qui, supposons-nous, a amené cette situation à exister (« J’aurais dû… », « Si je n’avais pas… ») ou lorsque nous nous angoissons en pensant au futur, aux conséquences possibles de cette situation (« Tout va devenir compliqué… », « Je n’arriverai pas à m’en sortir … »). Alors le remords et l'anxiété s'ajoutent à la souffrance et à la tristesse.
L'épreuve est suffisante en elle-même, il n’est pas nécessaire de se torturer davantage en imaginant ce qui aurait pu advenir d’heureux à la place ou en projetant de potentielles complications futures. Le passé est passé, impossible de le modifier, ni de le faire revenir, et puisque le futur n’est pas connaissable, nous pouvons libérer notre esprit de toute pensée le concernant. Ce qui se vit doit se conjuguer au présent. La sophrologie nous invite à vivre chaque situation dans l’ici et maintenant de ce qu’elle est aujourd’hui, sans a priori sur ce qu'elle aurait pu être ou sur ce qu'elle deviendra.
Lâcher prise pour laisser apparaître les solutions :
On ne peut pas tout contrôler. Chacun se trouve à un moment où à un autre confronté à des épreuves qu’il aurait préféré éviter. Avec la sophrologie nous apprenons à lâcher prise, à accepter de ne pas pouvoir exercer de contrôle sur tout, à admettre que le monde ne se conforme pas à notre idée de la perfection. Alors seulement, un apaisement apparaît, la vérité de la situation se dévoile, une issue se profile.
Nous possédons de nombreuses ressources pour affronter les épreuves, mais notre désir de contrôle et notre refus de la réalité les paralysent. A l’inverse, le lâcher prise libère nos potentiels et, dans ce qu’il débloque en nous, laisse un espace disponible pour que des solutions émergent.